Publié dans son édition de samedi 26 septembre, l’article du quotidien régional constate que trois partis veulent renverser la majorité absolue dont le bilan est très critiqué.
Il donne la parole à des représentant.e.s de chaque formation politique et expose leurs ambitions.
Extrait de l’article Arcinfo du 26 septembre 2020, réservé aux abonné.e.s et disponible en ligne en suivant ce lien.
Le PS vise au moins deux fois plus de sièges
Huit sièges actuellement. Dix de plus après les élections. «C’est notre ambition», indique Jean-François Künzi au nom du Parti socialiste (PS). A partir de là, les socialistes, après les élections au Conseil général, comptent occuper plus qu’un siège au Conseil communal. Et même y installer une majorité de gauche avec leurs alliés Verts.
Mais le PS ne dévoile aucun nom. Son actuel représentant au sein de l’exécutif, Grégory Jaquet, est candidat au Conseil général, mais il a fait savoir qu’il quittera son poste au terme de la législature. A noter que Marie-France Mater, évincée du Conseil communal en 2016, est candidate au Conseil général.
Montrant le PLR du doigt, le PS estime que «la majorité absolue est un poison pour la démocratie, car elle permet de prendre toutes les décisions, et cela à tous les niveaux. Or le PLR et ses alliés se sont contentés de ne réaliser que le minimum vital», estime Jean-François Künzi. «Nous voulons passer d’une époque où l’on se contente de visser les fenêtres de certains bâtiments communaux pour qu’elles ne tombent pas à une époque où l’on vit tous ensemble et où l’on réalise de beaux projets tels que ceux qui figurent dans notre programme.»